>On estime ainsi que les retraités perçoivent aujourd’hui deux fois plus que ce qu’ils ont cotisé durant leur période d’activité. Cette situation a également permis aux boomers – comme il est désormais coutume de les appeler – de recevoir en moyenne un héritage plus tôt dans leur parcours de vie, à un âge où il est encore temps d’investir, comme l’ont souligné les travaux de Thomas Piketty repris par le Conseil d’analyse économique.
https://theconversation.com/la-reform...nter-un-conflit-de-generations-201983
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L’effort environnemental « juste » serait donc proportionnel à l’impact écologique (difficile à évaluer) et tiendrait compte des inégalités existantes, afin de les réduire ou a minima de ne pas les aggraver. Ceci implique d’évaluer les conséquences économiques et sociales de la contribution demandée.
https://theconversation.com/pourquoi-...-pese-sur-les-plus-vulnerables-168419
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La longue et lente médiatisation de Robin permet donc aujourd’hui aux politiques conservatrices d’inverser les rôles : les populations les plus démunies (sans emploi, réfugiés…) occupent à présent la place des nobles d’autrefois, vivant oisivement grâce aux impôts. Les classes populaires sont alors régulièrement accusées de vivre du travail des autres, soutenant par leurs contributions salariales une classe d’assistés. Dans cette version instrumentalisée du mythe, Robin des Bois se rapproche de Nigel Farage, Margaret Thatcher, Ronald Reagan ou Emmanuel Macron. Le mythe médiéval qui consistait à redistribuer les richesses injustement captées par une classe dirigeante oisive a été récupéré par un imaginaire économique libéral.
https://theconversation.com/robin-des...trumentalise-par-les-puissants-158111
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